[Montejurra 2017] Por la dignidad de las personas
“Por la dignidad de las personas” es el lema del Partido Carlista para su encuentro anual en Montejurra que tuvo lugar el primer domingo de mayo. Tras el homenaje a Ricardo García Pellejero y Aniano Jiménez Santos, asesinados en 1976, se celebró el acto político con militantes y simpatizantes llegados de distintos puntos del Estado.
El secretario general del Partido Carlista E.K.A. en Nafarroa, Lázaro Ibáñez, fue el primero en tomar la palabra, recordando que se cumplen cuarenta años de una legalización de partidos que dejó fuera al Partido Carlista y aprovechó para arremeter contra “los partidos de izquierda, que ahora mismo no son alternativa de nada; son el bastón cómodo de la derecha y de un resurgir de la ultraderecha, algo muy preocupante”, lamentó. Al PP le tildó de “fábrica de chorizos”, mientras que a Podemos, dijo, “le sobra soberbia y prepotencia”, concluyendo que “tenemos una clase política como mucho de tercera o cuarta regional”.
Asimismo defendió que “La solidaridad de los pueblos está por encima de nuevas fronteras, no hay que crear más muros. La solución para una convivencia de futuro en las Españas pasa por más Fueros, más Libertad y más Federalismo”. También criticó al Parlamento de Navarra por “no permitirnos” organizar allí una exposición sobre los Sucesos de Montejurra 76. “Tienen miedo a la Libertad. Primero aprueban exigir la desclasificación de los documentos sobre Montejurra’76 y luego, con la boca pequeña y para nuestra sorpresa, no nos dejan poner la exposición”.Tampoco se libró de las críticas el Ayuntamiento de Estella-Lizarra, ya que, aseguró, “fueron retirados unos carteles de la exposición por orden del Ayuntamiento donde solo se decía: ¿Por qué? ¿Para qué? PSOE, Partido Comunista y PNV. ¿ A cambio de qué?”, señaló Ibáñez.
Javier Vecilla, representante del Partido Carlista de Aragón, agradeció a los asistentes su presencia, ya que “vuestro compromiso es garantía de que las ideas carlistas aún permanecen”. Eso sí, consideró que es hora de hacer una reflexión interna. “Me resigno a que el lugar donde tiene que estar el Carlismo sea simplemente un museo. Parece que estamos escribiendo las últimas páginas de nuestra historia, pero no la última. El Carlismo y sus valores deben ser transmitidos, renacer en nuevos movimientos, todavía estamos a tiempo de sumar fuerzas junto a otras fuerzas del cambio manteniendo nuestros principios para transformar la sociedad. Somos pocos pero no poca cosa”, finalizó Vecilla.
Por su parte, el secretario general federal del Partido Carlista, Jesús María Aragón, criticó al Gobierno español por no desclasificar los documentos de Montejurra’76 y cargó contra “quienes quieren hacer aparecer juntos al Carlismo y al fascismo de Franco”. Recordó el sufrimiento de don Javier en el campo nazi de Dachau y no se olvidó tampoco de los 40 años que se cumplen de la prohibición de celebrar su encuentro anual en Montejurra, en 1977.
Además, arremetió contra un capitalismo salvaje y aseguró que la recuperación económica no es tal. “No se ha creado ni un empleo fijo neto, han desaparecido los 62.000 millones de euros de la hucha de las pensiones y, según el FMI, los salarios han caído al nivel más bajo de los últimos cincuenta años”.
Fue una maravillosa fiesta del
carlismo, deberiamos tener más dias iguales.
La presencia de Dª Maria Teresa nos recordó que el compromiso de la Dinastía con el Pueblo sigue vigente, y eso anima mucho.
On peut deja parler d’histoire, mais rien n’est veritablement fait pour faire emerger le complot d’Etat pour destabiliser le Parti Carliste mis en exergue par le Prince xavier Bourbon.Les interets du Peuple et des nantis a toujours etaient la source de l’oppression populaire. A ce titre il faut qu’ils se bardent d’ideologies diverses et variees pour jouer sur le curseur des possibles pour refuser la necessaire egalites,justice sociale. A ce titre on pourrait retorquer que le parti carliste depuis le pretendant Charles VII n’exprime t’il pas un pretendu legitimisme ultime defenseur d’une classe de previlegies s’accrochant a des valeurs devenues desuetes face au liberalisme ouvrant la voie au progres en devenir. Cela a une raisonnance historique reelle le passeisme contre un pretendu avenir. Pour autant la realite vraie assignait une tout autre raisonnance tres actuelle celle du capitalisme consumeriste et mondialiste contre la souverainete populaire voulant lui maitriser la liberte a sa mesure a sa vitesse. Le peuple veut etre maitre du temps en mesurant ses propres evolutions. La a mon sens ou Marx avait raison c’etait de considerer ce choix son tort a mon sens, c’etait d’anticiper sur la finalite en affirmant que le resultat serait la concretisation de la realite en fait celle du capital qui prone l’inter changeabilite des individus et en y ajoutant une contradiction impossible a chacun selon ses «besoins» qui affirme une differenciation impossible. On pourrait dire mais dans le passe il y avait aussi une pensee unique dans une trilogie oppressante; la monarchie le sabre et le goupillon, oui nul ne peut en douter, mais cette oppression sociale qui a meutris des Peuples,et avait dans son trefond une occasion de repentance pour ces crimes commis. L’essence d’une resurrection : admettre que le Peuple est le renouveau que rien ne peut se decider sans lui, ses attaches c’est je le repete reguler ses propres avancees avec cette partie de lui meme qui le caracterise, qui est la vision qu’il ne disparaitra pas tant qu’il sentira qu’il peut etre (comme freud disant que l’inconcient se «dit immortel» . Non pas la vision a pretention individuelle. On ne sait trop que l’on meurt seul et a ce titre une communaute a des remparts pour conjurer la mort qui est l’angoisse de la realite, de la contingence humaine. Le consumerisme apaise aujourd’hui cette angoisse, mais qui revient toujours comme un boomerang. Seule une communaute peut maitrise notre dereliction. D’autant plus l’experience de l’histoire nous prouve qu’une legitimite peut porter ce message, representant la diversite dans l’unite et non pas celle de groupes de pressions dont la consequence effectives sont le gain de partisans gardiens les partages effectues. La representation des citoyens a de multiples expressions pour s’exprimer. Il faut que celui qui ecoute est bien en vue la question du sens de la communaute et de la vie. Bien entendu la condtion humaine sera toujours la meme, on ne peut pour autant negliger les sauts d’evolution que l’on ne peut soupconner. Rien n’esr gratuit de nos jours, il faut etre raisonnable, mais je crois et je le redis le sens de cette continuite historique peut etre une verite de l’ame que n’avait pas anticiper le legitimisme Carliste, mais l’avait suppute sans le formuler avec deja defense des particularites communautaires seuls moyens de lutter contre la globalisation Le vrai parti Carliste a fait ses preuves en se dissociant du Franquisme, les faux n’ont aucune legitimite se cantonnant a la repetition du meme. Voila ce que voulaient detruire sans le comprendre les voyous de Montejurra . Des hommes, de vrais Carlistes sont morts, n’ont pas pourl’oubli, mais pour une vision qui leur etait chere et qui continu etre porte?. Les assassins de l’ordre n’oublieront pas de mourir surement sans remords. Ces mercenaires sans cause et sans honneur sont ces interchangeables que fabrique le mondialisme. Les fournisseurs de ces hommes de mains comme bien souvent echappent a la justice. La France, l’Espagne, en fait l’Europe, sous la ferule d’autres Instances ont une longue action repressive, Galdio, Gal etc De la droite a la gauche combien d’individus aux services d’interets ou la voix du Peuple apparaissait comme un danger eminent. Les victimes de Montejurra auront toujours une histoire.tant qu’il y aura une continuite Alain Monier